
Coenzyme Q10 : quels sont ses bienfaits ?
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Publié par : Gergana Ivanova 7 minutes
Peau terne et moins lisse, perte de fermeté et d’élasticité des tissus cutanés, rides plus profondes…
Ces signes peuvent témoigner de la perte progressive et inéluctable de collagène au fil des années. Pour repousser les effets visibles du vieillissement, une supplémentation en collagène peut s’avérer être très utile.
Mais entre le collagène d’origine végétale et animale, le collagène marin ou bovin, quel collagène choisir ? Faisons le point sur cette protéine et ses différentes formes.
Articulations, peau, os, muscles, tendons, ligaments… Le collagène est l’un des composants majeurs de nombreux tissus de notre organisme. C’est la protéine de structure par excellence, la plus abondante du corps humain. En effet, elle représente près de 30% des protéines totales de l’organisme.
Dans le corps, le collagène se présente sous plusieurs types dont :
Ces différents types de collagène peuvent se retrouver dans les compléments alimentaires.
Le collagène, de son nom grec kólla, signifiant collant, assure la cohésion de nombreux tissus et organes. Les fibres de collagène confèrent ainsi aux tissus conjonctifs souplesse et solidité. Constituant essentiel du derme, le collagène joue aussi un rôle essentiel dans la structure de la peau. Il améliore son élasticité ce qui se traduit par une peau plus ferme et une réduction des rides.
À partir de 25 ans, sa production diminue avec l’âge. Nous perdons environ 1% de collagène tous les ans à l’âge adulte. La peau perd alors peu à peu de sa fermeté, se relâche et les premières rides apparaissent.
D’autres facteurs diminuent la teneur en collagène de l’organisme, tels que des facteurs génétiques, les rayonnements ultraviolets (UV) du soleil, le tabac, le stress, ou encore l’alimentation. En effet, un manque de vitamine C peut aussi être à l’origine d’une diminution de la production collagène. Participant à sa formation, il est ainsi essentiel d’avoir un apport suffisant en vitamine C.
La synthèse de collagène diminuant avec l’âge, il peut être nécessaire d’intégrer des compléments alimentaires à base de collagène à son alimentation pour compenser les pertes naturelles.
Si le collagène est une protéine présente dans le corps humain, il est également présent dans la matrice extracellulaire de nombreuses espèces animales, terrestres ou marines. Il peut être issu d’animaux comme le bœuf, le porc, le poulet, certains poissons ou crustacés.
Si dans la nature on retrouve cette protéine chez les animaux, elle n’existe pas dans le règne végétal. En effet, les végétaux ne le produisent pas. Il a uniquement une origine animale et non végétale.
Le collagène peut provenir des arêtes, des écailles et de la peau des poissons, des crevettes ou des crustacés. On parle alors de collagène marin. Uniquement d’origine animale, cette protéine ne peut pas être extraite d’algues.
Le collagène bovin, quant à lui, provient des vaches, en particulier des tissus à haute teneur en collagène comme des extraits de la peau et des os de bovins.
Actuellement, l’origine du collagène est principalement bovine, mais le collagène marin devient peu à peu une option privilégiée. Pourtant, le collagène bovin est plus efficace pour plusieurs raison :
Pour bien choisir son collagène, d’autres critères de choix doivent être considérés, particulièrement la forme de cette protéine. Dans les compléments alimentaires, elle existe sous deux formes. On distingue le collagène natif et l’hydrolysat de collagène.
D’une part, le collagène dit natif présente une structure complexe : la taille et le poids de ses molécules sont élevés. Cette forme est peu biodisponible. Le corps en absorbe donc en plus petite quantité.
D’autre part, l’hydrolysat de collagène est quant à lui mieux assimilé. En effet, sous forme hydrolysée, la molécule a été fragmentée pour obtenir de plus petites molécules appelées “peptides de collagène”. La taille des peptides influe directement sur sa biodisponibilité. De plus petites tailles moléculaires, les peptides de collagènes sont mieux absorbés par l’organisme : l’assimilation est ainsi optimale.
L’hydrolysat de collagène est donc la forme à privilégier, en comparaison au collagène natif.
Pour renforcer l’action du collagène, les formules peuvent être complétées avec certaines vitamines comme la vitamine C.
Aussi appelée acide ascorbique, elle contribue à la formation normale du collagène pour assurer la fonction normale du cartilage, des os, de la peau, des gencives et des dents.
On la retrouve aussi dans une grande variété d’aliments, comme le kiwi, le citron ou encore le persil.
Il est également intéressant de coupler le collagène avec de l’acide hyaluronique. Ce dernier est, tout comme le collagène, un des composants majeurs de notre peau.
Si le collagène joue un rôle majeur dans la construction et l’architecture de la peau, l’acide hyaluronique hydrate les tissus.
Sa production diminue elle aussi avec l’âge. La peau paraît plus sèche, plus rugueuse et les premiers signes de l’âge apparaissent (relâchement de la peau, tâches…). Populaire en crème mais également en gélules, l’acide hyaluronique atténue les rides et ridules et améliore son éclat.
Une supplémentation à base d’hydrolysat de collagène, d’acide hyaluronique et de vitamine C est ainsi le combo gagnant pour un meilleur résultat sur la peau et repousser les premières marques de l’âge.
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